Économie | Prélèvement à la source : des centaines de milliers de contribuables appellent la hotline
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Prélèvement à la source : des centaines de milliers de contribuables appellent la hotline

Céleste l'Astrologue Publié par Céleste l'Astrologue - le 7 janv. 2019 à 00:00
Hotline

Le prélèvement à la source est entré en vigueur, et depuis le début de l’année, les appels et les questions se multiplient auprès de la hotline gratuite mise en place par le ministère de l’Action et des Comptes publics.

Le ministère se félicite d’un lancement sans difficulté

Avec le prélèvement à la source, l’année 2019 démarre en fanfare ! Au ministère de l’Action et des Comptes publics, la tension a été à son comble au cours des premiers jours de cette année, alors que de nombreux Français se sont rués vers la hotline mise en place spécialement par le gouvernement. Quelques jours après l’ouverture de cette ligne gratuite, l’heure est au bilan et, du point de vue des autorités, il est plutôt satisfaisant.

« Le lancement du prélèvement à la source s’est fait sans heurt technique, et les services de ka direction générale des Finances publiques sont pleinement mobilisés pour prendre en charge les demandes des usagers, via tous les canaux possibles », a ainsi déclaré le ministère dans un communiqué.

La hotline devrait crouler sous les appels d’ici la fin du mois

Au cours des trois premiers jours d’ouverture de cette hotline, les services du ministère ont enregistré 639.696 appels passés au 0 809 401 401, dont 215.075 demandes ont pu être satisfaites via le serveur vocal interactif. 424.421 demandes ont nécessité l’intervention d’un conseiller. De nombreux contribuables ont également utilisé Internet pour entrer en relation avec l’Administration fiscale ces derniers jours et selon les chiffres diffusés, 36.280 courriels ont été reçus tandis que le site Impots.gouv a enregistré 2.419.221 connexions.

Entre le lundi de la rentrée et la fin de la semaine, les appels vers la hotline et les connexions sur le site avaient quasiment diminué de moitié. Le ministère espère donc une accalmie, au moins jusqu’à la fin du mois, où les appels devraient se multiplier lorsque les premières fiches de salaire seront distribuées.

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